Méditations analytiques et philosophiques sur la pratique corporelle
Méditations analytiques et philosophiques sur la pratique corporelle :
Les formes de travail de bases sont anciennes et classiques :
Dont les plus remarquables :
- des principes corporels (c’est notre côté charnel)
- des principes énergétiques (c’est notre côté quantique)
- des principes liés aux lois de la matière (notre côté minéral)
- des principes liés aux lois de la mécanique (c’est notre côté machine)
- des principes physiologiques (notre côté biochimique et végétal)
- des principes psycho-affectifs (c’est notre côté animal social)
- des principes moraux (c’est notre côté humain social)
- des principes de conceptions intellectuelles (notre côté informatique)
- des principes de sensibilité vivante (c’est notre côté artiste)
- des principes de conscience spirituelle (notre côté divin)
- etc.
Le geste est donc comme la pensée, une manifestation extrêmement complexe et riche. Mais souvent nous n’utilisons, nous ne vivons, qu’une toute petite partie de cette profondeur.
Ces niveaux sont généralement invisibles. Ils demeurent souvent inconscients.
Même parfois pour des pratiquants assidus. Pour ressentir l’influence de ces différents niveaux, une sorte d’éducation sensible est nécessaire, une éducation profonde aux réalités subtiles qui échappent à la personne ordinaire.
Ou en tous cas demeurent endormies, comme dans les contes anciens, attendant d’être réveillées par la baguette magique de quelque fée, c’est-à-dire l’index, le doigt de la Conscience Profonde du pratiquant(e).
Les formes de travail de bases sont anciennes et classiques :
Dont les plus remarquables :
- des principes corporels (c’est notre côté charnel)
- des principes énergétiques (c’est notre côté quantique)
- des principes liés aux lois de la matière (notre côté minéral)
- des principes liés aux lois de la mécanique (c’est notre côté machine)
- des principes physiologiques (notre côté biochimique et végétal)
- des principes psycho-affectifs (c’est notre côté animal social)
- des principes moraux (c’est notre côté humain social)
- des principes de conceptions intellectuelles (notre côté informatique)
- des principes de sensibilité vivante (c’est notre côté artiste)
- des principes de conscience spirituelle (notre côté divin)
- etc.
Le geste est donc comme la pensée, une manifestation extrêmement complexe et riche. Mais souvent nous n’utilisons, nous ne vivons, qu’une toute petite partie de cette profondeur.
Ces niveaux sont généralement invisibles. Ils demeurent souvent inconscients.
Même parfois pour des pratiquants assidus. Pour ressentir l’influence de ces différents niveaux, une sorte d’éducation sensible est nécessaire, une éducation profonde aux réalités subtiles qui échappent à la personne ordinaire.
Ou en tous cas demeurent endormies, comme dans les contes anciens, attendant d’être réveillées par la baguette magique de quelque fée, c’est-à-dire l’index, le doigt de la Conscience Profonde du pratiquant(e).
